Plusieurs études scientifiques (*) ont démontré l’efficience de la musculation pour lutter contre les affections de longue durée, telles que l’obésité, le diabète, l’ostéoporose, le cancer et la sclérose en plaque.
Ces études confirment que la pratique pour les personnes sédentaires d’une activité sportive régulière et adaptée empêche l’apparition de maladies chroniques. Une étude australienne (**), réalisée en 2016 à l’université de Sydney a montré qu’un lien positif existe entre l’entraînement progressif en résistance et les fonctions cérébrales chez les personnes âgées de plus de 55 ans souffrant d’un trouble cognitif léger. A la double condition, d’exercer la pratique au moins deux fois par semaine, et en maintenant l’intensité des exercices à au moins 80 % de la force musculaire maximale.
(*) Medicine & Science in Sports and exercise – Strength Training and the Risk of Type 2 Diabetes and Cardiovascular Disease
(**) The University of Sydney. Increasing muscle strength can improve brain function : the SMART trial